Trojan :

Alors, la, je vois déjà vos mines circonspectes. « Késako Trojan ? Keskilfoula ? » Alors déjà, je vous répondrais que c’est fort mal poli de m’interrompre, d’une. De deux, c’est un très bon jeu. Une fois de plus, je suis pas du tout objectif car finalement, il ne plaira clairement pas à tout le monde. Dans Trojan, vous incarnez un brave garçon parti chercher sa meuf (ouais, je suis un ouf, je parle comme les djeuns), qui comme toutes les meufs, s’est fourrée dans la panade (la mouise). Armé de votre bouclier et de votre épée, va falloir cravacher pour traverser les niveaux car le jeu est, comme Ghost’n goblins (mais dans une moindre mesure tout de même) assez difficile. Je surkiffe ce jeu sans véritable raison, c’est un peu le jeu qui a rien à foutre la, mais je prends un pied absolu avec. Sans doute le plaisir de manier l’épée et de taper sur tout ce qui bouge. J’aurais du faire CRS en fait…


Dragon Ball Z :

Passons rapidement sur cette petite bouse de Dragon Ball sorti sur NES et attardons nous sur celui qui va « révolutionner » la bagarre (la baston pour mon lectorat jeune, le pugilat pour les vieux (je ne veux oublier personne)). Donc Dragon Ball Z, sur SNES (Super Nintendo pour ceux qui prendrait la rubrique en cours (je ne vous félicite pas d’ailleurs) (y a plein de parenthèses dans ce texte, c’est le bordel)), est le premier vrai jeu sorti en France mettant en scène les fameux personnages du dessin animé. Véritable fantasme de gosse à l’époque, on peut y incarner une bonne partie de la saga. La particularité de ce jeu, par rapport à la concurrence, c’est de permettre des combats « longues distances ». En effet, comme dans le DA (dessin animé), on peut s’envoler, s’éloigner de son adversaire et balancer un Kamehameha des familles en travers du nez de l’adversaire.
C’est pas le meilleur épisode de la série sorti sur SNES, mais comme c’est celui sur lequel j’ai mis le plus de rouste à mon cousin, c’était la moindre des choses que de lui rendre hommage.

Poulet Magique