Mike Tyson’s Punch out :

Haaaa, Punch Out, que de bons moments ! mes premiers lancers de manettes (je suis un peu nerveux quand je perds…), mes premières vraies humiliations, mes grands moments de détresse avant chaque combat… Car oui, MTPO (Mike Tyson truc machin), est la première « simulation » de boxe sortie sur NES. On y incarne un jeune boxer, un rookie (non, pas un cookie…) qui va devoir gravir les échelons à coup d’uppercut. Chaque adversaire mettra (sauf le tout premier, un français, comme par hasard…) vos nerfs et vos réflexes à rude épreuve. Il faudra aussi faire preuve d’intelligence (tout est relatif) pour trouver son point faible et le battre « facilement ».
Bien sur, le dernier adversaire n’est autre que le célèbre Mike Tyson et je peux vous dire mes amis que contre lui, vous allez jongler !
Pour la petite histoire, suite aux frasques du bonhomme, Nintendo sortira une version Punch Out tout court pour ne plus être associé à Mr Tyson.


Mariokart :

Encore une saga mythique commencée sur la SNES ! J’aurais pu faire intervenir des experts tant ce jeu est, pour les fins gourmets, la référence absolue. Avant tout, sachez qu’il existe un championnat du monde de Super Mario Kart, une compétition ou vous et moi n’avons clairement aucune chance tant le niveau est fat (regardez sur Youtube). Mario kart, je ne vais pas faire l’affront de vous expliquer le jeu, tout le monde le connait.

Je veux juste revenir sur un truc. Si vous avez une SNES, achetez le ! Plus incontournable, il y a pas, c’est simple. Le mode Battle, en 1 contre 1, est juste fabuleux. En plus, on le trouve pour 10 euros à la louchette sur Ebay, soit le prix de deux kebabs sauce blanche tomate oignon salade s’il vous plait. Vous n’avez pas d’excuse.


Gunsmoke :

C’est un peu le même truc qu’avec Trojan. Je sais pas pourquoi je suis dingue de ce jeu. On dirige un cowboy (je ne suis pas fan de John Wayne), on tue des bandits (je ne suis pas fan des westerns) et on gagne des sous. C’est fou, mais c’est ça l’amour, un regard, un petit coup de manette, un bouton Start et en avant Guingamp ! Ce petit shoot’em up (ressortez vos fiches, merci) présente la particularité de vous faire tourner le niveau en boucle tant que vous n’avez pas acheté l’affiche « WANTED » représentant le boss de fin de niveau. Je vous laisse imaginer, moi, enfant tout foufou à l’époque, ne parlant ni anglais et étant assez peu porté sur la lecture de notice, refaisant pendant quasiment une heure le premier niveau… Comme Trojan, il ne plaira pas à tout le monde (il suffit de voir les commentaires sur Trojan) mais vous pouvez y aller, c’est de la bonne !


Cybernator :

Cybernator, c’est mon époque Robotech. J’étais fan du dessin animé (même si je comprenais rien à l’histoire car je loupais la moitié des épisodes, merci la 5 et vos horaires pourries !). Du coup, quand Cybernator est arrivé dans mon Jouéclub (ceci n’est pas un billet sponso, mais si jamais tu me lis, o toi patron de cette marque, je suis preneur de tout jeux 3DS (mais pas les pourris hein)), j’ai forcément harcelé ma mère pour me le faire offrir à Noel. Autant vous dire que je n’ai pas lâché ma console (la Super Nintendo, pas la 3DS, on était dans les années 90) de toutes les vacances. Je parle, je parle mais je m’égare. Dans Cybernator, on est au commande d’un gros robot et on va péter la bouche des méchants. Un truc qui est assez fascinant dans ce jeu, c’est que l’on a vraiment l’impression de lourdeur dans les déplacements. Les niveaux sont super variés, il y a tout un tas d’armes différents, il est beau, il est pas facile. Bref, un excellent défouloir.


Castlevania :

Si le site s’était appelé Poulette Sadomaso, j’aurais eu une super punchline.
Malheureusement, la censure étant mon lot quotidien (oui, je suis un garçon brimé), elle ne sera jamais publiée. Oui, la vie est moche. Mais haut les coeurs les copains (et les copines), car voici le fils prodigue, le bien nommé Castlevania. Castle comme Chateau, Vania comme…les serviettes hygiéniques, le sang tout ça tout ça (bon appétit). Dans Castlevania, il faut aller calmer la joie d’un Dracula et de tous ses copains (la Mort, Méduse etc etc) à grand coup de fouet dans la barbaque. Saga incontournable, notamment sur 8 et 16 bits (et même sur DS), Castlevania est difficile dans le sens ou il n’aide pas le joueur. Pas de sauvegarde, des checkspoints (lieu d’où on repart après être mourru) farfelus et des boss bien chauds cacao, voila ce qui vous attends. Bon, en même temps, faut être un peu limité pour partir à l’assaut du château de Dracule armé d’un fouet… Entre plate-forme et action, ce jeu est un incontournable. Vous en aurez pour votre argent.