4 – Chip’n Dale :
Chip’n Dale (à ne pas confondre avec Chip’n DAVE hahaha) est l’adaptation en jeux vidéo d’un dessin animé ayant bercé notre enfance, enfin plutôt la votre car j’étais déjà un ado fou et boutonneux  à cette époque : Tic et Tac Rangers du risque.
Une fois de plus, c’est une adaptation réalisée par Capcom. Une fois de plus, on est dans un jeu de plate-forme tout choupinou avec des petits écureuils et des méchants tout mimi. Une fois de plus encore, le jeu est vraiment trop facile (c’était pour que pour une fois, une fille puisse finir un jeu) SAUF que cette fois, on peut jouer à deux. Et à deux, le jeu devient excellent mais vraiment hein ! Un joueur incarne Tic et l’autre Tac et c’est parti pour la lolade comme on dit dans les milieux autorisés. Ton copain prend toutes les options devant toi et fait un peu trop le malin ? Pas de soucis, il suffit de le pécho comme s’il s’agissait d’une caisse (oui, car dans le jeu, Tic et Tac, qui sont des écureuils, lancent des caisses en bois sur les méchants, ne me demandez pas ce qu’ils prennent chez Capcom) , hop, on le lance dans un trou ou sur un ennemi et c’est de le début des embrouilles à base de coups fourrés.

Facilement trouvable partout pour pas cher, très sympa en solo, il offre l’avantage d’être accessible et d’initier en douceur sa copine, petit frère, sœur, grand-mère et autres handicapés de la manette.
Par contre, tout comme Mario Kart, ce jeu peut amener des couples au bout de la rupture (et du câlin torride de réconciliation !!!).


3 – Megaman 2 :
Megaman, encore une production Capcom, est sans doute l’une des séries les plus appréciés des Nintendo fans. Commencé sur NES, cette véritable icône de l’action/plate-forme s’est ainsi vue portée sur quasiment toutes les autres consoles anciennes et récentes.
Pour les quelques personnes qui ne connaitraient pas Megaman (je ne vous félicite pas), un bref rappel s’impose.

Megaman est un petit robot tout bleu fabriqué par le docteur Light qui part combattre le méchant docteur Willy et ses méchants robots. Sauf que contrairement aux schtroumpfs qui se battent à coup de bisous, Megaman éclate gentiment la gueule de ses ennemis  avec un bras pistolet (celui ou celle qui vient de se faire la réflexion « comme Cobra » est mon ami(e) pour la vie) et récupère les pouvoirs des méchants robots qui se dressent sur son chemin.

Vous me direz : « ha ouaaiiiiiiis, mais c’est du classique, Sega, c’est plus fort que toi, blablabla » et je vous répondrais qu’il faut arrêter de me couper la parole quand je tapote mon texte. C’est malpoli et en plus, je n’avais pas terminé. La particularité des Megaman (du moins sur NES et SNES) est que vous déterminez vous-même l’ordre dans lequel vous allez traverser les niveaux et affronter le boss respectif. Sachant qu’à chaque fois que vous tuez un boss, vous récupérez son pouvoir et que chaque boss est particulièrement vulnérable à un certain pouvoir, une certaine gymnastique mentale s’impose pour enchainer les différents boss dans un ordre logique sans trop de soucis.

En plus d’être beau comme un camion et de proposer l’une des meilleure bande son jamais sortie sur 8 bits, le jeu est ultra fun, le gameplay solide et l’ensemble est saupoudré d’une bonne dose de plate-forme bien tendue du string juste comme il faut.


Pour retrouver les précédents articles :
Semaine 1 avec World Cup et Batman
Semaine 2 avec Guns Smoke et Duck Tales
Semaine 3 avec Double dragon 2 et Super Mario Bros